Olyssa Nymfalis

I. Renseignements généraux:

Nom: Nymfalis
Prénom(s): Olyssa
Surnom: Oly, en général.
Date de naissance: le 21 janvier 1993
Sexe: Féminin

II Physique:

Ondulant jusqu'à ses hanches, les cheveux de la jeune Nymfalis sont souples et épais, d'un blond parsemé de mèches variant du châtain au blond le plus clair.
D'une forme allongée, légèrement en amande et entourés de longs cils noirs, ses yeux sont pétillants, d'une couleur oscillant entre le bleu et le vert. Ils peuvent ainsi facilement rappeler les mers des Caraïbes au ton si particulier, bien qu'ils n'en évoquent pas la chaleur.
Des pommettes saillantes, un nez droit, une bouche bien dessinée aux lèvres pleines, le visage d’Olyssa possède des traits fins et très expressifs, révélateurs principaux de ses humeurs – qu’elle tente de cacher aux autres depuis sa petite enfance, fierté oblige d’après elle-
Olyssa, dans ses plus lointains souvenirs, n’a jamais eu de problèmes de poids, bien que son appétit aurait pu prétendre le contraire. Du haut de ses onze ans, elle pèse trente-deux kilos pour un bon mètre quarante-trois, ce que sa tante Gadie a toujours estimé comme moyen…
Oly ne possède aucun signe particulier, mis à part la peu importante et fine cicatrice qu’elle a à l’épaule. Une cicatrice qu’elle doit à Manic (l’un de ses frères), qui lui ouvrit malencontreusement le bras en jouant avec la baguette magique de Mrs Nymfalis. Olyssa avait dix ans et les jumeaux – Manic et Tom- venaient de fêter leurs trois ans.

III Caractère:

Qualités et défaut: Indépendante et autonome, parfois même solitaire, Olyssa a toujours su se débrouiller seule, bien qu’elle se mette souvent dans des circonstances gênantes. En effet, sa curiosité et sa témérité irréfléchie l’entraînèrent dans maintes « aventures », toutes plus idiotes et dangereuses les unes que les autres. Bref, Oly était une enfant imprudente, intenable et hyperactive…Si elle garde quelques restes de ces caractéristiques aujourd'hui, telle que le manque de patience et de calme, le temps l'a rendue plus prudente et très calculatrice.
Elle est une jeune sorcière intelligente et une manipulatrice très douée quand un évènement l'y oblige. Elle est capricieuse et déteste être contrariée, déterminée et extrêmement fière…Olyssa sait ce qu’elle veut et ce qu’elle vaut, il lui arrive donc de faire preuve d’une certaine arrogance ; sans compter qu’elle reste une « forte tête », têtue et insolente, qui a toujours du mal à accepter l'autorité et tout principe de supériorité. Elle tient en effet plus que tout à l'égalité, son indépendance, d'esprit comme de corps, et est prête à faire n'importe quoi pour défendre sa liberté. De la volonté très prononcée d'Olyssa à réussir tout ce qu'elle entreprend et de sa confiance en elle, ressort un manque de diplomatie parfois blessant : Si la jeune fille réfléchit beaucoup quant à l'effet de ses actions sur elle-même, il n'en est pas de même pour les autres. Nous pourrions donc conclure qu'Olyssa est une jeune sorcière égoïste, bien que le fait qu'elle soit capable des pires sacrifices pour aider les gens auxquels elle tient vient contredire en partie cette constatation.

Ce qu'elle aime:
L’action a toujours eu une place bien précise dans l’enfance d’Olyssa. Une journée sans aventures – qu’elle inventait en compagnie de ses frères – était pour elle une journée gâchée et fastidieuse, ce qui explique son hyperactivité (qui lui valut d’autre part quelques visites chez le médecin).
La lecture prit dans son cœur une place dès qu’elle apprit à déchiffrer l’alphabet, si bien que en dehors de l’école, de ses multiples imprudences et de ses amis, il était courant de la voir étendue sur ses couvertures pendant des heures, un lourd volume d’aventures entre les mains.
Si la jeune Nymfalis était une enfant sociable, elle s’abandonnait pourtant souvent à ses pensées seule dans l’immense chêne de son jardin qu’elle affectionnait tout particulièrement pour sa hauteur et l'impression d'espace, de puissance et de liberté qu'il lui donnait…Le calme était parfois une chose qu’elle appréciait.

Ce qu'elle n'aime pas: A l’école moldue où elle apprit à lire et écrire, Olyssa eut tôt fait de se confronter à toutes sortes de choses détestables dont l’autorité infâme des professeurs et les bandes qui s’amusaient à terroriser les plus faibles sans aucunes raisons valables.
Quelque chose, ou plutôt quelqu’un, trouva vite aussi une place dans la longue liste des « je n’aime pas » d’Oly…Il s’agissait de son propre père et de l'intolérance qui en émanait. Cette intolérance tant détestée se généralisa au fur et à mesure de l'âge, passant de son père aux diverses situations discriminatoires passées ou présentes de ce monde, moldues ou sorcières.

IV Histoire:

Origines et lieux d'habitations: Née en Irlande, Olyssa Nymfalis y vécut six printemps, les six premiers de sa vie.
C’est un beau soir de Mars de l’année 1999 que la jeune Nymfalis se vit contrainte de quitter leur jolie chaumière de Gallway avec sa mère, enceinte de trois mois, chargées de la totalité de leurs affaires et avec pour seule aide un sortilège de Lévitation.
Depuis ce jour, Cathy Nymfalis et sa fille vivent dans une charmante maison de la campagne londonienne.

Enfance: Jusqu’à ses six ans, Olyssa vécut, comme je l’ai précédemment dit, dans un petit village d’Irlande nommé Gallway. C’était une enfant épanouie et heureuse, élevée par Cathy et Alfred Nymfalis, ses parents.
Malheureusement, comme pour prouver que ce bonheur ne pouvait durer, tout l’environnement de la fillette s’évanouie : Un soir du printemps 1999, Alfred rentra plus tôt que prévu de l’université où il travaillait, et surprit sa femme, occupée à laver la vaisselle à l’aide de sa baguette magique…Un fait peu important en soit, mais pas dans le cas présent...Sa véritable nature, Cathy la cachait par peur de la réaction de son mari, et cela depuis leur rencontre, elle n’utilisait la magie qu'en son absence, y compris celle de sa fille – Elle savait pourtant qu’Olyssa se rendrait compte de tout cette machination dès qu’elle découvrirait ses propres pouvoirs, très probables - Résultat, Cathy constata qu’elle n’aurait jamais du sortir sa baguette de sa poche, car Alfred Nymfalis faisait parti de ces gens qui détestent toute forme de « différence » un peu trop prononcée…Si bien que Cathy, furieuse, fit ses valises le soir même après une longue série de cris dans le salon, embarquant sa fille unique et tous ses souvenirs de famille ! La vie d’Olyssa prenait un autre tournant, décisif…

Cathy, enceinte de trois mois, espéra un moment qu’Alfred les rattraperait dans cette rue sombre où elle s’engageait, tenant par la main sa petite fille au visage étrangement durci par la colère.
Alfred ne vint pas, et Cathy se vit contrainte d’appeler le Magicobus, transport pour sorciers en péril.
Elles arrivèrent au petit jour à Londres dans la rue d’Oxford Streat, rue où logeait Gadie Cullighan, sœur aînée de Cathy.
Celle-ci les accueillit dans une robe de chambre rose bonbon, aussi rose que son appartement de poupée –ce qui donna aussitôt à Olyssa une irrésistible envie de vomir-
Une année difficile et fatiguante se déroula à Londres : Cathy, après son accouchement, du travailler à plein temps au Ministère de la Magie –en temps que régulatrice des Transports Magiques- et trouver un logement ne fut pas de toute facilité.
La situation se stabilisa heureusement lorsque la petite famille, agrandie récemment de jumeaux, acheta une maison à Stanford, village de la périphérie londonienne. La maison était de proportion convenable, recouverte de lierre, auquel s’ajoutait un grand jardin ensoleillé.
L’année suivante se passa sans encombres, il n’y avait aucune nouvelle d’Alfred, Olyssa était inscrite à l’école moldue du village et les jumeaux grandissaient à vitesse grand V.

A l’âge de sept ans, un évènement des plus étranges se produisit à l’école d’Oly. La fillette, convoquée pour la dixième fois consécutive de l’année dans le bureau du proviseur, subissait les remontrances de celui-ci en vain. Elle s’était encore battue avec un élève, un idiot qui n’avait trouvé rien de mieux à faire que de lancer des pierres sur un moineau –heureusement pour l’abruti, l’oiseau n’avait pas été touché- Il n’empêche que du point de vue de la blondinette, c’était intolérable ! Le garçon avait été envoyé à l’infirmerie avec un œil poché, et Olyssa dans l’abominable bureau du directeur, dont la puanteur variait entre l’urine de chat et la pâté immonde qu’on leurs servait.
Le soir même de cette entrevue, Mrs Nymfalis s’était vue convoquée par l’adjointe du directeur, dont les cheveux avaient pris une horrible teinte zébrée rose et noir, et dont le silence restait un mystère.
Après avoir pratiqué elle-même un sortilège d’amnésie sur le pauvre Mr McDown, Cathy était rentrée chez elle en traînant Olyssa qui ne comprenait pas comment elle avait pu faire une chose pareille.
Bref, Olyssa était devenu une sorcière…

D’autres évènements notoires comme celui-ci se reproduisirent, car Olyssa n’arrivait pas à se contrôler. Les cas les plus impressionnants furent observés sur ses frères jumeaux, Manic et Tom, plus insupportables chaque année. Les jumeaux eurent le droit un jour à quelque chose qui ressemblait à une paire d’oreilles de chauve-souris.
Mais les trois jeunes Nymfalis restaient toute fois soudés, bien que leur différence d’âge posait souvent des problèmes, et les diverses bêtises commises se faisaient souvent à trois.

Alfred Nymfalis, quant à lui, passait une fois par an rendre visite à son « ex-femme » et ses enfants, souvent en compagnie de jeunes femmes qui changeaient à chaque fois.
Les jumeaux, qui avaient grandi en entendant que leur père était un « goujat », comme le répétait Cathy, ignoraient leur père plus qu’autre chose, et Oly se contentait de lui dire « bonjour et au revoir » d’une voix méprisante, par devoir plutôt qu'autre chose.
Alfred n’était pas plus aimable et passait juste les voir par obligation.

Scolarité avant Poudlard: C’est en arrivant à Londres que Cathy envoya sa fille à l’école moldue unique de Stanford. Olyssa apprit donc à lire et à écrire comme toute personne « normale » non dotée de pouvoirs magiques, et ses notes se révélèrent excellentes, malgré son caractère peturbateur de l'époque.

Réception de la lettre de Poudlard :
Olyssa dormait profondément, c’était le matin du 15 Août 2004. Grande dormeuse dans l’âme, elle n’entendit qu’à peine la série de coups sonores frappés sur la fenêtre.
Un claquement retentit dans ses lointains rêves, ce n’était autre que la dite fenêtre qui venait de s’ouvrir violemment, mais ce ne fut que lorsque la jeune sorcière ressentit une douleur vive à l’un de ses orteils qu’elle se redressa dans un cri.
Deux gros yeux globuleux d’un jaune vif l’observaient d’un air révolté…Sur le bout de son lit se tenait un énorme hibou ! Les yeux d’Oly s’arrondirent à leur tour, pas d’indignation comme le volatile, mais plutôt de stupéfaction. Elle s’écria :

« Hey !!! Mais qu’est-ce que tu fais là toi ! Ici c’est propriété privée ! Le courrier, c’est en bas ! »

Le hibou ne bougea pas d’une plume et continua à la fixer. Son impatience grandissante, la jeune fille se leva brusquement. Non mais, pour qui se prenait cet oiseau ? Déjà il la réveillait, mais en plus il s’obstinait à rester planté là, ses serres pleines de terre sur ses couvertures.
Sa mère ferait bien de prévenir le Ministère de lui envoyer des hiboux plus futés !

« Mais tu vas dégager oui ? Mrs Cathy Nymfalis est dans le salon…dans le sa-lon…SA-LON !!! »

Le hibou s’ébouriffa les plumes avec colère et déplia ses ailes, s’appliquant à faire des cercles autour de la chambre de la jeune Nymfalis avant de plonger sur elle sans prévenir…Enchevêtrement de couverture…Claquement de bec…Le hibou repartit comme il était venu, laissant une Olyssa échevelée sur le sol, les bras recouverts de griffures sanguinolentes et piquantes.

« ESPECE D’ HIBOU DERANGE ! ON DEVRAIT TE DEPLUMER GROS… »

Redoutant que le hibou ne fasse demi tour pour la mettre en pièce, elle s’élança vers la fenêtre qu’elle referma après avoir pris soin de rabattre les volets.
Un coup d’œil vers l’état de ses bras lui laissa échapper une grimace…M’enfin sa mère saurait arranger ça avec son livre de médecine magique.
Olyssa se dirigea donc vers la porte. Elle avait du réveiller tout le monde avec ce vacarme. Soudain, dans un bruit encore plus effrayant que le précédent, Oly s'étala sur le sol. Dans un juron, une grimace de douleur sur le visage, elle ramassa « l’objet danger public » et constata qu’il s’agissait en fait d’une enveloppe parcheminée. Son regard la survola :

Olyssa Nymfalis
Dans la chambre du premier étage - Aile droite
31st World Streat
Stanford

*Hein ?* Ce fut la première question que se posa Olyssa. Elle ne recevait pour ainsi dire jamais de lettre, et surtout pas de ce genre là, avec un sceau et tout le tralala qu’on utilisait au Moyen-Âge.
Optant enfin pour une bonne initiative, elle décacheta la lettre...

« MAMAAAAN !!! ça y est ! c’est POUDLARD !!! JE vais à Poudlaaaaaaaaaaaard ! »

Olyssa avait beau être couverte de griffures sanguinolentes et avoir en plus une bosse à la tête, elle s'en moquait éperdument. Tout ce qui l’importait c’était qu’elle allait à l’école de sorcellerie…Poudlard...


Famille:

sa mère: Catherine –Cathy- Nymfalis (du nom de jeune fille Cullighan), à l’âge de 31 ans, est une femme généreuse, intelligente, perfectionniste, attentionnée, parfois à l'extrême, et travailleuse.
De longs cheveux roux foncé, des yeux noisette, une robe bien repassée, svelte et de taille moyenne (environ 1m68), Cathy a été et est toujours une très belle femme. Elle travaille au Ministère de la Magie depuis l’année 1999 , au poste de régulatrice des Transports Magiques.
Elle vécut dans une famille sorcière de condition moyenne. Son père, Ronald Cullighan occupait un poste dans le Départements des Jeux et Sports Magiques.
Irlandaise, elle fit ses études à Poudlard dans la maison de Rowena Serdaigle et passa ses BUSE et ASPIC haut la main.
A 19 ans, elle rencontra Alfred Nymfalis, un moldu travaillant à l’université de Gallway, ville où elle logeait à cette époque.
L’entente fut immédiate et un an plus tard, Cathy mettait au monde son premier enfant, Olyssa.
Ils se séparèrent en 1999, alors qu’elle était enceinte de jumeaux, lorsqu’ Alfred découvrit qu’elle était une sorcière et que ses enfants en seraient sûrement.


~> Cathy peu après la naissance d'Olyssa

Son père: Alfred Nymfalis, 34 ans, homme à l'apparence désinvolte et attirante, les cheveux blonds, les yeux verts, mal rasé. Il est professeur dans l’université de Gallway et est d’origine bourgeoise.
De caractère impulsif, c’est un homme intelligent, charismatique, qui possède un grand humour et ne cache pas son don pour la séduction. Il rencontra Cathy Cullighan à 22 ans, avec qui il se maria et eut trois enfants.
Il ne connut pour ainsi dire pas ses deux fils, qui naquirent après sa séparation avec Cathy et resta très dur envers sa fille aînée.


~> Alfred à 22 ans

Ses frères: Les jumeaux Manic et Tom, à quatre ans, sont des garçons précoces, malins, imprudents et courageux dans leur genre.
Malgré les sept ans qui les séparent de leur sœur aînée, ils s’entendirent toujours bien avec elle et se laissèrent facilement entraîner dans ses « imprudences ». Ils sont aussi blonds que leur soeur, et possèdent des yeux d'une couleur oscillant entre le vert et le noisette. Les différencier est une épreuve que même leur propre mère n'arrive pas à assurer.
La complicité qui unit les deux frères est impressionnante.


~> Manic à 1 an et demi



~> Tom à 4 ans

Sa tante : Gadie Cullighan, 41 ans, c’est la sœur aînée de Cathy. Elle travaille dans une boutique de vêtements pour sorcières et ressemble à « un sapin de Noël », comme se plaisent à faire remarquer affectivement Manic et Tom.
Elle fut d’une grande aide à Cathy et ses enfants lors de la séparation avec son beau frère.
Vêtue de rose depuis sa tendre enfance, elle n’a jamais changé de goût et peut se confondre avec l’intérieur de son appartement de Londres, assorti à ses habits.
Sous son allure débonnaire et peu futée, Gadie est une femme intelligente, possessive et très douée dans les affaires.
Les cheveux aussi bruns que sont roux ceux de sa sœur, les yeux noisette, le maquillage surabondant, elle fut envoyée à Poufsouffle le jour de sa répartition à Poudlard.
Elle est célibataire et n’a jamais eu d’enfants, et se plaît donc à gâter ceux de sa soeur, ses jeunes et uniques neveux.

Je supprimme les anciens messages (inutiles)

Validée ! Direction la Gran ... ***Tilt*** Direction où tu veux!

Je vérrouille